XD !! Suite a la demande de ma tendre soeur ! Voila que je m'essaye a la fanfic u_u oui je sais...
Mais j'etait ptdrrr ! Vraiment ! Bisous a toi alex-chou
Tiré d'un histoire vrai....
Un doux matin d’été. Le soleil se lève sur une ville déjà en ébullition. Le gens marche, insouciant et presser, sans me regarder. Moi, ne pensant qu’a une chose… ce fatal rendez-vous. Cette chose à laquelle je ne fais penser depuis le soir dernier quand je me suis difficilement endormi. Dans ma tête, les questions ce bousculent : « Est-ce que je vais avoir mal ? », « Est-ce qu’il va être doux ? », « Est-ce que j’ai bien pris mon médicament ? ». Je n’étend rien de ce qui ce qui ce passe autour de moi. Je marche pensive vers ce fatal rendez-vous. Je prends l’ascenseur mais je n’est qu’une idée : partir… le plus vite possible. Au fond j’essaye de me rassurer : « Aller c’est pas grand-chose ! Beaucoup de gens l’on fait déjà ! Ils ne sont pas morts et tu seras débarrassé après ! ». Les portes s’ouvrent dans un fracas. Je sursaute. La grande porte en bois se dresse devant moi. Je la pousse en soupirant. Je ne peux plus reculer maintenant.
Une jeune femme au sourire radieux est là. Je voudrai dire qu’elle est rassurante mais je n’y arrive pas. Elle me dit qu’il va arriver, je n’est qu’a m’assoire et attendre tranquillement.
Il arrive enfin avec son grand sourire. J’essaye de lui rendre mais mes lèvres sont crispées. Il me fait entré et je me dirige directement vers le fauteuil. Je m’asseoir et regarde autour de moi cette pièce trop éclairé. Cette lumière agressive qui vient dans mes yeux, qui m’éblouie. Vous savez, ce couloir que les gens qui ont frôlés la mort disent avoir vue ? Pour moi c’était un peu la même chose sauf que la ce n’est pas rassurant du tout. Elle ce dirige vers moi, toujours souriant et m’allonge mécaniquement. Cela peut commencer…
Il sort cette chose. Longue et menaçante. Au Dieu sait combien je la déteste. Il me dit d’ouvrir la bouche, je m’exécute. Aussi grande que je peut. Il me la plante en haut, puis en bas. Je sent mes lèvres s’engourdit, des fourmis parcours ma langue. Sans m’en rendre compte je ne sens déjà plus rien. Il me dit que tout ira bien, que ça va aller vite. Je hoche la tête, toute en tremblant.
C’est alors que je regarde ces mains gantées. Il tient cette chose. J’essaye de me concentré, de lui trouver un nom mais je n’y arrive pas. La bouche insensible toujours grande ouverte, il attaque sent ménagement…
Une entaille sur la gencive du haut. Il sort un autre objet de torture. Il gratte, il frotte, il tire. Il y a un tuyau qui aspire ma salive. Je ne sens rien mais dans ma tête les question se bouscule : « Qu’est ce qu’il est en train de me faire ? Il s’est pris pour un plombier ou quoi ?! ». Il force. Apparemment, ça ne marche pas comme il veut. Ma bouche ce referme toute seule, je n’en peut plus. Il me dit qu’il n’en a plus pour longtemps mais qu’il faut que je résiste encore un peu. Il continue à tirer, à percer.
Soudain je voie ces choses voler autour de moi. « Qu’est ce que c’est ? ». Cette chose qui lui réciter, il l’a fait voler en éclat. Dans ces yeux danse la flamme de la victoire. Il me demande si ça va. J’essaye de reprendre tranquillement mon souffle. « Plus qu’une ! » me dit –il. J’ouvre une nouvelle fois ma bouche martyriser. Mes doigts ce crispe sur le siège et mes ongles s’enfoncent dans celui-ci. Une entaille dans la gencive du bas. Il recommence sont manége. Cette chose brillante me meurtrie les lèvres. Je ferme les yeux. Tout va plus vite cette fois-ci. Il me dit que c’est fini. Il sort un fil, une aiguille et lance sa dernière offensive a mon camps ravager.
Enfin, il se relève l’air satisfait. Il me demande de rester allongé un moment. Les larmes veulent sortir mais je dois rester forte, je dois me montrer forte… Apres un moment, je me relève complément paumé. Je sors de cette pièce aveuglante que j’espère ne plus jamais revoir. J’essaye de ne pas vaciller. Je m’assoie tranquillement. Apres un bon quart d’heur il revient. Je lève mes yeux fatigué vers ce terrible ce soldat. Il me tend sa mains tout sourire :
« Plus de dents de sagesse ! C’est fini pour de bon maintenant ! »
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Sujet: Fatal rendez-vous 
